Notre pays compte de nombreuses associations qui gravitent autour des marques, du marketing, de la communication, de la publicité ou des médias. Chacun d’entre eux a son propre fonctionnement et son propre profil.
Ces chevauchements représentent-ils des « dommages collatéraux ». Y a-t-il trop d’associations ? Et le coronavirus menace-t-il le cœur de métier des associations ? PUB a demandé à Chris Van Roey (UBA) et Koen Van Impe (BAM). Le double entretien s’est déroulé en ligne, comme la majorité des meetings et autres moments de consultation en ces temps nouveaux.