L’Event Confederation réagit avec soulagement à la réouverture du secteur

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À partir du 1er septembre, 200 personnes à l’intérieur et 400 personnes à l’extérieur pourront se rassembler, et l’heure de fermeture du secteur de l’HoReCa sera également supprimée. En outre, les organisateurs d’événements et leurs clients pourront choisir d’appliquer ou non le cst à partir du 1er septembre, ce qui signifie que le maintien de la distanciation sociale et le port du masque buccal ne seront plus obligatoires.

À partir du 1er octobre, les capacités seront portées à 500 (à l’intérieur) et 750 (à l’extérieur) et les soirées dansantes seront également autorisées lors des événements, mais également dans les discothèques. L’Event Confederation reste préoccupée par la situation à Bruxelles ou cette date est provisoirement reportée au 1er octobre.

« C’est la nouvelle dont le secteur avait besoin. Nous appelons les gouvernements à autoriser un maximum d’événements. Beaucoup d’événements de 2020 ont été reportés et doivent donc encore être organisés » dit Bruno Schaubroeck de l’Event Confederation.

Après 18 mois d’arrêt complet, le secteur va se remettre en marche en commençant par une énorme opération de rattrapage des événements reportés. Le secteur estime que plus d’un million de tickets d’entrée aux événements attendent encore d’être utilisés. Le secteur des fêtes privées (mariages, etc.) est particulièrement enthousiaste quant à la possibilité de reprendre le travail dès le 1er septembre, avec une fête dansante et sans cst, ce qui signifie que de nombreux mariages pourront être rattrapés (suite aux reports) en septembre.

« L’Event Confederation tient à remercier sincèrement les différentes autorités fédérales et régionales et leurs cabinets, les membres du GEMS et de la commission corona pour toute l’aide et les conseils qu’ils lui ont apportés durant ces mois difficiles. Nous restons préoccupés par le fait que la réouverture continuera à causer de graves problèmes financiers pour l’ensemble du secteur et demandons aux autorités de permettre que certaines mesures de soutien (telles que le chômage technique) et l’aide financière se poursuivent jusqu’à ceque la dernière entreprise de notre secteur soit en mesure de redémarrer économiquement. »